Nadia Chafik, Filles du vent (Paris : Harmattan, 1995)

Libérée de l’asile dans lequel elle avait été enfermée il y a 27 ans, Faïza, âgée de 50 ans, se souvient de son triste passé. À travers l’histoire d’une femme qui se pensait libérée, c’est tout un contexte social qui est ici donné à lire. Quant à Ambre, sa fille, considérée comme un délit d’amour et une fille du péché, n’est rien d’autre qu’une génération schizophrène qui se débat dans les transformations sociales que traverse le Maroc.

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