Nedjma, L’amande (Paris: Plon, 2004)

Au prix de sa vie, Badra s’est enfuie de chez elle et s’est réfugiée à Tanger chez sa tante Selma. Là, elle évoque ses souvenirs d’Imchouk, le village qu’elle a quitté : préparation au mariage – seule issue pour l’adolescente qu’elle était – par l’enfermement et l’engraissement, apprentissage de l’obéissance au mari, travail, soumission totale. Puis le mariage lui-même, avec son cortège de traditions barbares et d’humiliations sexuelles. À Tanger, elle découvre l’amour et l’érotisme. Pour l’une des premières fois, une Marocaine raconte sa vie intime.

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