Nadia Chafik, À l’ombre de Jugurtha (Casablanca : EDDIF, 2000)

Yugurtha

En 1925, une histoire d’amour conduit Catherine, une jeune Parisienne jusqu’aux montagnes du Moyen-Atlas où la colonie française tente de s’implanter. L’auteure suit pas à pas son héroïne confrontée au choc des cultures : les us et coutumes des montagnes remplacent peu à peu les repères de la Parisienne qui s’adapte à sa nouvelle existence, forcée par les circonstances et l’humeur de Tawessart, la vieille Nanna Déhia, la grand-mère intransigeante dont le portrait laisse croire qu’elle porte en elle les gènes redoutables de cette fameuse reine qu’on appelle al-Kahéna.

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