Le journalisme au Maroc fait partie des métiers les plus dangereux au monde ; figurent parmi les journalistes qui sont incarcéré.es, harcelé.es par la police, ou qui l’ont été : Mohamed Boutaam, Omar Radi, Sulaimane Raissouni, Imad Stitou, Maati Monjib, Taoufik Bouarchrine, Hajjar Raissouni, Hamid Mahdaoui, Ali Anouzla, Afaf Bernani, Hicham Mansouri, Ali Lambrabet, Abou Bakr Jamaï, etc.
Par ailleurs, la censure qui pèse sur les femmes est insidieuse, parce qu’elle passe souvent inaperçue. Par exemple, des journaux féminins, tels que Kalima et Thamania mars, ont été censurés au fil des ans. De surcroît, d’autres journaux tels que Citadine et Femmes du Maroc s’adonnent à des prouesses extraordinaires pour arriver à publier des articles portant sur l’éducation sexuelle.