Leila Abouzeid, Am al-Fil (L’année de l’éléphant) ( Beyreuth : Dar al-Afaq, 1987)

Après vingt ans de vie commune, Zahra se fait répudier.  Pendant qu’elle cherche un emploi pour survivre, ses pensées vont vers la période coloniale.  Nostalgique, elle se rappelle ses luttes côte à côte avec son ex-conjoint et les rêves et sacrifices communs. Elle conclut que c’est « la faute de l’Indépendance » puisqu’avec l’Indépendance, les révolutionnaires comme son ex-conjoint ont pu devenir des fonctionnaires corrompus.  Abouzeid nous livre une réflexion sur le nationalisme, le pouvoir et le statut inférieur des femmes.

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