Farida Diouri, L’ange de la misère (Paris : Harmattan, 2001)

Après un bonheur éphémère, le père de Myriam meurt dans un accident. Dans le besoin, sa maman devient bonne et démissionne de son rôle de mère. Livrée à elle-même, Myriam travaille dans un salon de coiffure et côtoie des prostituées. Elle se lie d’amitié avec Amina, l’accompagne aux discothèques de la ville, propose ses charmes, se fait son premier client qui lui fait perdre sa virginité et rentre à la maison avec quelques billets. Depuis, elle devient une prostituée. Farida Diouri sensibilise le lecteur pour les femmes qui souffrent de la marginalisation économique au Maroc.

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